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Satyres et Ménades

      Les textes ci-dessous ont été rédigés ces dernières années sans intention de les publier dans des revues, rien que pour mon plaisir. Ils ont été rapidement relus par mon épouse, mais pas vraiment amenés aux standards d'une publication. Je n'ai que plus ou moins tenu compte de ses remarques. Ce sont donc des testes imparfaits que je met en ligne. Il me semble important de le faire parce que les propositions qu'ils contiennent me paraissent "novatrices".
      Je n'attends rien en retour et je ne suis même pas certain d'avoir des lecteurs. Une chose est sûre, vu mon âge, je n'ai aucune ambition professionnelle, rien qu'un "ego" à satisfaire ! J'ai compris depuis deux décennies que personne n'attendait mes publications, si jamais auparavant j'avais imaginé autrement. Cependant, j'ai constaté avec surprise que quelques articles en ligne sont de plus en plus lu aux quatre coins de la planète, mais pas en France, ce qui me chagrine nullement.
      Le lecteur se fera l'opinion qu'il voudra de ces textes et l'usage également. Ils constituent simplement une interprétation moins assujettie à la doxa toujours vigueur qui voue un culte à la Grèce éternelle et exclusive. Ce qui à mon sens n'est qu'une attitude idéologique dont le premier caractère est de marginaliser un dieu, son vin et son cortège. Pourtant, ils fonctionnent comme des opérateurs politiques de premier plan, si "politique" n'est pas cantonné aux assemblées et au magistratures, mais concerne ce qui fait société et avant tout, pourquoi faire société.

- Entre Satyres et Ménades, la politique dionysiaque du plaisir.

- Pour en finir avec le mythe de la Ménade endormie.

- Symposia entre Satyre(s) et Ménade(s).

 Entre Satyres et Ménades, la politique dionysiaque du plaisir


 

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